Skip to main content

2015 Petilou Toulon-Sicile

Du 22 juin au 10 août

Toulon – Corse – Sardaigne – Sicile – Italie
Toulon Palerme
                    Pierre Bourakoff Josiane         Du  22 juin au 8 juillet 16 jours                                                       Andy  (-> 4 juillet)                     Arriver le 3 juillet à Palerme
Nord de Sicile                        Maribel, Gabriel                         Du 10 au 26 juillet       16 jours
Îles Eoliennes Palerme                                                            compagnie de Romain 6 au 13
Palerme Messine                 Maribel, Gabriel              Du 26 juillet au 1 août  7 jours
Catane  Syracuse    

20216 Sicile

LE VOYAGE

Samedi 8 août
Petilou 2015 fin du voyage

Vendredi 7 août
Préparation à l’hivernage
Puis soirée jazz


Jeudi 6 août
17h00 Grande Ourse est stationné à côté de Petilou
Qui aurait dit une rencontre pareille après 30 ans !
09h30 Petilou est sorti de l’eau et 14h30 Grande Ourse est sorti de l’eau

8h30 Petit dej Avec Maribel et Gabriel qui vont prendre 24h de train pour retourner en Suisse

Mercredi 5 août
Retour à Syracuse
Pêcheur de moules dans le port

Mardi 4 août
3h00: Houle et vent, on rejoint Marzamemi la nuit. Arrivée délicate en se prenant dans les amarres d’autres bateaux. Tout finit par s’arranger.

Lundi 3 août
Syracuse Porto Palo.
A l’ancre abrité par l’île Passero
On est au sud de la Sicile
Le fort de l’île et la côte

On perçoit l’ancienne fabrique de thon en boite.
Les premiers thoniers datent de 1200 !

Fête au village
On dîne avec Romain et ses équipiers Philippe et sa fille Laura,

Syracuse
La vieille ville Ortiga, est un délicieux dédale de ruelles et d’escaliers entre de belles maisons baroques en pierre.
Dans l’antiquité, c’était la cité-état la plus puissante de la Magna Graecia, légale d’Athènes
Syracuse étendit son pouvoir sur la Sicile et la Méditerranée occidentale et connut 200 ans de prospérité jusqu’à sa querelle avec Rome.
Pourquoi Syracuse nous fait rêver comme d’autres lieux mythiques ? Douceur de la chanson de Henri Salvador

Vendredi 31 Juillet
Ballade dans Ortiga et La place du Duomo. Maribel suivie de sa soeur jumelle. Le restaurant sympathique décoré d’un style brocante

Jeudi 30 juillet
La chaleur toujours aussi élevée. Une douche habillé redonne la fraicheur.

A l’ancre près de la Grande Ourse 4
Visite du chantier naval et j’y laisse le moteur de l’annexe pour réparation. 19h00 on approche Syracuse accompagné par un remorqueur ressemblant aux jouets et livres d’enfants

16h00 Repas italien préparé par Maribel
Prime piato : Spaghetti poivrons ail
Secundo piato : Peche spada oignon entier citron et huile d’olive
Vino Siciliano ; Dolce : figues et tartelette aux abricots

14h00 Départ de Catane pour Syracuse
Plaisir de naviguer dans la mer Ionienne. Au travers Génois par force 4

Mardi 28 juillet
Visite de l’Etna

Volcan jeune, 300000 année est un des plus actifs du monde. Les laves sortent entre 900 et 1100 degrés
Formé de basalte donnant des laves en « coussins » noirs et des trachy basaltes qui donnent des laves noires avec des inclusions de gypse blanches
Le magma initial est tholéiitique et évolue rapidement vers une série typiquement alcaline basalte trachy andésite typique des Andes.
Pour celles et ceux qui comprennent quelque chose, veuillez m’envoyer l’explication par mail.

Difficile de choisir des photos tellement le paysage est surprenant
Végétation délicate dans la lave noire

Avant les touristes et après
Certains sont discrets… d’autres ont peur d’oublier d’où ils viennent. L’essentiel étant la vue d’ensemble

Lundi 27 juillet

Dimanche 26 juillet
Taormina → Catania.
3h de voile 2h de moteur
Arrivée dans le port de Catane.
On retrouve Romain. Ses equipiers sont allés sur l’Etna.

Samedi 25 juillet
On se ballade à Taormina comme toujours plein de touristes, mais incontournable, On se fait un restaurant et le « peixe espada » puis 1/2 de blanc après, un regard fluctuant mais nec mergitur.
Romain lève l’ancre direction Catane pour visiter l’Etna

Vendredi 24 Juillet

13 : 30 Nous quittons Messine pour Taormina.
Tout le trajet à la voile en « ciseaux » avec un bon vent arrière. Accompagnés par Romain et son nouvel équipage Marie-France et Germain
Baie de Taormina

Jeudi 23 juillet

Passage du détroit de Messine et arrivée à Messine
Dans l’antiquité le passage du détroit de Messine était considéré comme extrêmement périlleux. C’est après le tremblement de terre de 1783 qui a changé les fonds et calmé quelque peu le passage. Il existe néanmoins 3 tourbillons bien localisés qui peuvent mettre en danger les yachts.

image

Grande Ourse et Petilou à Messine

image

De nombreux bateaux de pêche à l’espadon avec leur haut mât d’où le capitaine dirige le bateau tout en cherchant les espadons et un long « bout dehors » à la proue pouvant atteindre 15m d’où le pêcheur harpone les espadons. La particularité des espadons étant de dormir à la surface de l’eau.

Après 2 nuits à l’ancre à l’île Vulcano nous quittons les Eoliennes pour la Sicile
16:00 Arrivée à Milazzo.
La ville fut fondée par les Grecs en 716 av J.C.
Milazzo jouxte une raffinerie de pétrole et de nombreux pétroliers sont ancrés dans la baie.

image

Les Eoliennes
sont des îles volcaniques dont deux sont toujours en activité, le Stromboli et Grand Cratère sur Vulcano

Mardi 21 juillet
Vulcano
C’est l’île la plus au sud des Eoliennes et par de nombreux aspects la plus étonnante. Avec ses bassins de boue bouillonnante et ses sources minerales chaudes dont les bulles montent du fond de la mer. Il y a quelque chose de lunaire dans le paysage.
Vulcano montée 800 m + chaleur + beau spectacle

Petilou dans la baie de Vulcano

image

Les bains de boue au pied du volcan reconnus pour ses bienfaits sur la peau.
Dracula 2 le retour
au goût de soufre à consommer modérément
N’empêche pas un petit coin d’esthétique

Lundi 20 juillet
23h00 un petrolier livre sa cargaison pendant la nuit.
Les Eoliennes se font livrer le pétrole ainsi que l’eau. Celle-ci est d’ailleurs rationnée.

image

20h00 Repas
Salade grecque, thon et  »bottarga de muggine » poutargue de mulet (oeufs de mulet fumés) et petit rosé éolien bien frais.

image

15h00 Direction Vulcano arrivée à 16:30
Ile surprenante avec son volcan et les coulées de soufre ainsi que les bains de boue.

On se fait tirer par le bateau , on boit la tasse

Dimanche 19 juillet
19h00 Sortie de la Madonne de l’église pour la procession.
à 23h00 nous devrons quitter le ponton pendant le feu d’artifice.

18h00 Arrivée de Romain et son équipier François

image

09h00 Visite du musée.
Reconnu mondialement il présente des objets de 6000 ac au XVlll
Particularité, des parties de sites archéologiques sont intégrées dans le musée le rendant « vivant »

Soirée prevue avec la fête de la Madonne
Nous attendons Romain pour Dimanche
La fête de la Madonne commence ce soir et se terminera Dimanche par la procession.

Vendredi 17 juillet
16h00 Arrivée à Lipari
Autre coup de coeur
Touristique, oui, mais pleine de charme. Le temps ralentit effleuré par le vent. La vieille ville, son église son chateau sur un promontoire rocheux.
Le charme également sur la petite marina et son ponton
Les tombeurs du 3 ème âge tombés bien bas dans les bas résilles des filets pêcheurs, des pêcheurs qui se sont défilés dès les papillons bleus des coeurs prisonniers, pris uniques d’amour passionnel
La vieille ville

11h00 Nous quittons le Stromboli en direction de Lipari
On croise les rochers Basiluzzo en face de Panarea
Finalement un petit air et on peut mettre le génois sans la grande voile pour garder le taud, la chaleur étant toujours forte. Que c’est bon se mettre à la proue, à l’ombre du génois avec un souffle de vent léger et bienfaisant

Y en a qui sont en mode switch-off
Un maillot de bain des chaussettes et une île au loin. De quoi être profondément pensif.

Jeudi 16 juillet
Farniente

Mercredi 15 juillet
Ballade de 5h au Stromboli avec des paysages passant des arbustes et senteurs méditerranéennes au décor lunaire. En particulier la Sciara del fuoco genre de toboggan de pierres volcaniques.

De retour sur le bateau, me baissant pour décharger l’annexe mes lunettes tombent dans l’eau. Puis je décide de prendre un bain habillé. Je vérifie bien que mes poches soient vides et heureux je plonge oubliant mon sac à dos toujours à poste ! Eclat de rire inimitable de Gabriel

Mardi 14 juillet
17 : 00 Arrivée à Stromboli
En zigzagant parmis les bateaux au dans la baie, cherchant une place de mouillage, je reçois un coup de fil de Maurizio. Distrait, je heurte un bateau au mouillage. Encore l’aventure.
Mouillage où j’ai fait connaissance brutale avec des français furieux après la secouée qu’ils ont reçu puis finalement très sympas. !
Le bateau en question un Moody 45 Feng Shui

Mouillage où j’ai fait connaissance brutale avec des français furieux après la secouée qu’ils ont reçu puis finalement très sympas. !
Le bateau en question un Moody 45 Feng Shui

Stromboli

Maribel prépare la pâte des petits pains. Nous rêvons déjà de l’odeur de cuisson le matin pour le p’tit dèje

Les petits pains sont prêts, bien gonflés. Ce sont des petits déjeuners irrésistibles surtout quand on m’amène le café et un petit pain dans ma cabine !!!

Lundi 13 juillet
Filicudi

Debut de soirée hyper romantique

20 : 00 On se fait livrer la farine pour les pains de Maribel qu’on aura au petit dejeuner demain, puis la confiture de citron maison, les câpres de l’île et les bouteilles d’eau
16: 00 arrivée à Filicudi
On se met à une bouée devant Pecorini

Etonnante rencontre la cheminée de lave de 69 m sortant de la mer

9h00 Plein de fuel et départ vers l’île Eolienne de Filicudi.

Dimanche 12 Juillet

Romain repart vers Palerme pour y amener Amélie et Arnaud qui retournent en Suisse
On retrouvera Romain aux Eoliennes

La plage de Cefalù

Vendredi 10 juillet
De Palerme a Cefalù
Cefalù est un vieux village de pêcheurs devenu touristique. A flanc d’un grand promontoire rocheux
Il y a une cathédrale normande dont la construction commença sous le règne du Roi Roger en 1131 en souvenir d’un naufrage. C’est l’un des plus beaux exemple de ce type.

Soirée au son de la harpe et une belle voix chantant l’Ave Maria

Nous rencontrons Romain Amélie et Arnaud sur Grande Ourse 4


Dès le départ, Maribel reprend son habitude de se doucher à l’eau de mer pendant la navigation, la chaleur est forte.

Jeudi 9 Juillet
Arrivée de Maribel et Gabriel
Nous allons manger chez Zina Pia

Palerme vue du port de plaisance

Mercredi 8 juillet

21h00 Une grappa pour tasser les couches sémantiques de mon repas.
Puis dans la ruelle triste je pense que la misère ambiante m’est de plus en plus difficile à supporter. Pour les ceux qui sont nés à côté c’est nettement plus facile en se bourrant la gueule … ou avec un conjoint (pas trop quand même) des enfants des petits enfants et la suite au prochain no.

20h30 De retour chez Zia Pina des antipasti puis un espadon et 1/4 de blanc. Carmela la patrone sort dans la rue engueuler un de ses fils qui devrait être an boulot. Beaucoup de bruit puis elle revient vers les clients « ce sont mes fils que je dois secouer » puis tout rentre dans le calme des publicités à la télévision.
Je termine mon espadon de derrière les fagots pendant un débat télévisé sur les immigrés. Je ne comprends rien si ce n’est des députés qui s’engueulent s’interrompent se pavanent se positionnent se postillonnent se n’importe quoi comme dans toutes les télés du monde. A la différence près qu’ils gueulent plus fort qu’ailleurs. Des chauds lat(p)ins. Fallait que je la sorte celle-là. La politique est définitivement passée d’une vocation à une profession.
Je quitte le restau le ventre plein les idées derrière les oreilles d’une emission  » comment manger sainement et maigrir moins »

19h00 Suis devant ma bière sur une terrasse donnant sur le port. De très belles jeunes filles habillées comme seules le savent les italiennes passent le regard fier d’être enviées. L’une tient un bouquet blanc à la main. Une future mariée très probablement. D’un bateau de pêcheurs prêt à partir les regards des marins plein de désirs deshabillent les charmantes nymphes. Deux parcours, deux mondes qui se parallèlent sans se parler. Le hazard de naître au hazard.
Puis passent les joggeurs transpirants groupés par plusieurs par couple ou seuls. Une femme passe avec un jogging gris serré au point de lui deviner l’origine du monde. Et les senteurs du port.
Tout change et les générations se croisent…

Josiane et Pierre me quittent.
Très bonne amitié qui s’est créée en cours de navigation sans vagues à l’âme ( fallait bien que je la ponde celle là)

Josiane et Pierre me quittent.
Très bonne amitié qui s’est créée en cours de navigation sans vagues à l’âme ( fallait bien que je la ponde celle là)

Josiane s’est révélée une excellente navigatrice en gérant les routes sur la tablette

Toilettes réparées, ouf ! je me sens mieux.
Un mécanicien obèse a procédé à la réparation, tout en sueur. par une chaleur torride je le plaignais. Mais étant jeune il assurait.

Mardi 7 juillet
De Castellamare à Palermo
Voile puis moteur.
En route on croise, à l’île Femini, Romain sur son voilier en compagnie d’Amélie et Arnaud. On s’est donné rdv à Cefalu.
Le soir on a mangé dans un petit restaurant « Zia Pina » qu’il faut voir pour croire. On s’est régalés de fruits de mer. On y est arrivés par hasard en passant par un quartier assez zone mais fréquenté par de jeunes étudiants. Je viens de me rendre compte que ce restaurant est connu !

Le soir on a mangé dans un petit restaurant « Zia Pina » qu’il faut voir pour croire. On s’est régalés de fruits de mer. On y est arrivés par hasard en passant par un quartier assez zone mais fréquenté par de jeunes étudiants. Je viens de me rendre compte que ce restaurant est connu !

Lundi 6 Juillet
De Trapani à Castellamare.
Coup de Coeur à I’arrivée de Castellamare. Village suspendu dans une vallée rocheuse. Même sentiment que Castelsardo en Sardaigne.

Puis notre voisin de ponton nous offre des parts le thon blanc Ala grande de 12kg. qu’il a pêché.
Grillé par Pierre avec son doigté magique, à la poëlle, épices poivre sel huile d’olive plus un petit rosé et on se dit que le bonheur est à portée de palais.

Soirée passé dans Trapani nous enchante par sa beauté mauresque (voir sur wiki « mauresques » pour ne pas avoir l’air trop con car c’est noté dans tous les guides).
Diner salade de poulpe puis tranche d’espadon le tout noyé dans un blanc régional.
Un vieux pêcheur traverse la baie sur sa petite barque quittant son passé pour le bonheur d’en face.

Le traffic maritime entre la Sicile et la Tunisie… 

Dimanche 5 Juillet 12h30
Arrivée à Trapani tribord amour toute,
en Sicile, après une traversée de 28h au moteur ! pas un soupçon de vent.
Josiane skippe brillamment le bateau.
Quelques désagréments : en premier lieu réparer le feu de position rouge. Puis les toilettes ne fonctionnent plus. Pierre démonte la pompe et on la nettoie car pleine de tartre. En remontant naturellement les pas de vis se cassent et il faut une bride, brillante idée de Pierre, pour refixer l’ensemble. Rien n’y fait, et on presume que la vanne on le tuyau d’évacuation est bouché. En attendant on s’attache à la plage arrière pour imiter les navigateurs wintage ! Affaire à suivre
Puis pendant mon quart l’alarme du moteur se réveille indiquant un manque d’huile. 2 litres d’huile ajoutés et tout repart dans un joyeux ronronnement couvrant celui de Pierre qui dort.
En dernier le levier du bas étai me lâche de la main et fend le hublot du cockpit. De justesse évité de me casser le pied (sans mauvais jeu de mots)
Suite au prochain no.

Vendredi 3 juillet
L’arrivée à Cagliari et Andy nous quitte

Partis à 7h30 de Teulada pour Cagliari.
La côte Sud est bordé de petites plages et plus peuplée
 »Et soudain apparaît Cagliari : une ville dépouillée, escarpée, toute dorée, qui s’élève jusqu’au ciel depuis la plaine au fond d’une baie profonde et sans forme. Elle est étrange, merveilleux, ne ressemblant en rien aux villes italienne. La ville s’élève vers le ciel, comme une miniature, et me fait penser à Jérusalem : sans arbres, à découvert, minérale et fière, lointaine comme si elle avait reculé dans l’histoire, comme les villes des enluminures des anciens missels. On se demande comment elle peut être là. On se croirait en Espagne on à Malte, pas en Italie » D H Lawrence Sea and Sardinia.
Pris du guide de Rod Heikell

La marina Sant Elmo n’y va pas de main morte : 70€ la nuit et 5€ pour le wifi.
De plus il faut trier les déchets. Très bien mais le pb est qu’il y a des jours pour le papier et pour le plastic et pour l’organique. Casse tête lorsque l’on reste une nuit ! On traite alors à la cool style « on savait pas »
Reception agréable malgré tout.

Nous allons dans la ville et prenons le petit train touristique absolument charmant comme le sont les petits trains touristiques. La ville est en hauteur et nous profitons du parcours choisi pour nous.
Nous rentrons un bus et je demande au chauffeur l’arrêt pour la marina. Il nous fait descendre bien plus loin. Heureusement un couple nous propose de nous amener à destination. Pierre me suggère de ne plus parler italien !

Jeudi 2 juillet

Petilou dans le port de Teulada

Nous découvrons le port de Teulada. Beau dans un cadre sauvage.

La côte ouest et sud de la Sardaigne est très sauvage. Un maquis d’arbustes verdoyants aux senteurs méditerranéennes. Quelques villages isolés aux couleurs pastel.
Teulada à l’heure de la sieste. On se croirait dans un film de Sergio Leone avec Morricone

Plus bucolique la peinture murale de l’ambiance dans les années 1900

Andy à la guitare et son ami James venu dormir une nuit sur le bateau

Josiane et Pierre, Pierre à la barre, Pierre en action, Josiane à la barre

Mercredi 1 juillet
De Carloforte à Teulada
Mer agitée et hachurée avec un fort vent de 25 noeuds, Vent de face. Peu confortable. Arrivée à 21:30

Reception très sympathique et haute en couleur par Efisio employé de la Capitainerie.
Efisio sur son zodiac et son collègue plongeur.

Mardi 30
De Torre Grande à Carloforte
Arrivés à Carloforte à 18h45

Mardi 30
De Torre Grande à Carloforte
Arrivés à Carloforte à 18h45
La ville est jolie et agréable. Les rues partant du large front de mer planté de palmiers sont bordées d’élégantes maisons aux couleurs pastel et balcons de fer forgé.

Lundi 29
De Porto Comte à Torre Grande où on passe la nuit.
On s’ensable à l’arrivée du Port Torre Grande. Deux employés de la Capitainerie du port viennent à notre rencontre en Zodiac. Ils ont poussé le bateau par le côté et mon moteur à fond sans succès. Enfin en prenant la drisse et tirant de côté avec le zodiac, le bateau s’est penché suffisamment et avec le moteur à fond on s’est finalement dégagés

dimanche 28
De Castelsardo à Porto Comte
12 heures dont 2h de moteur
Falaises abruptes dans la mer puis Stintino le passage à haut fonds turquoise
Ou s’est mis à l’ancre dans le mouillage de Porto Comte grande baie bien protégée

Andy au travail
Je comprends pourquoi Andy m’appelle de « Crazy lazy B

boss »

Samedi 27

Bonifacio à Castelsardo
6 heures à la voile
1.5 heures au moteur
Castelsardo village au sommet d’un rocher et aux maisons multicolores. Joli port très accueillant
Castelsardo vue du bateau, Barque Sarde, Mouette pas farouche

Vendredi 26
Campomoro à Bonifacio, tout à la voile
Bonifacio la nuit, Petilou dans le port
Toujours surprenant l’entrée à la voile dans Bonifacio

Jeudi 25
Ajaccio à Campomoro, tout à la voile
Voile en « Papillon » à l’arrivée de Campomoro

Mercredi 24
Visite d’Ajaccio

Lundi 22 au Mardi 23
Traversée de Toulon ou plus précisément Saint-Mandrier à Ajaccio
33 heures de navigation dont 27 à la voile. Partis lundi 22 juin à 7h30 et arrivés le mardi 23 juin à 16h30 à Ajaccio.
Equipage : Josiane Pierre Andy et moi.
Vent 12 à 18 noeuds. Vitesse max 9 noeuds. Mer agitée. Baptême de navigation pour Josiane.

Visite d’Ajaccio, un drapeau suisse flotte au loin

Andy le magnifique

Nous avons été envahis par une quantité impressionnante de minuscules feuilles en plastic durant la traversée probablement en passant dans une zone tourbillon de pollution.

L’avitaillement avant le départ de Toulon

Après 5h de TGV Lausanne Toulon, voyage confortable, arrivée au Port Pin-Rolland et me voici avec un bon tartare !
Mise à l’eau le 17 juin